Barack Obama était président des États-Unis, Microsoft lançait Bing, Twitter enregistrait 1 milliard de dollars de chiffre d’affaires, et le web en entier était captivé par l’histoire d’un garçon de six ans survolant le Colorado dans un ballon météorologique. L’histoire s’est avérée plus tard être un canular.
Mais peut-être que le monde n’était pas aussi différent que nous le pensons. Le Dow Jones était à 10 000 points et l’avenir financier était des plus incertains. Le taux de chômage aux États-Unis atteignait 10% en octobre 2009, le pire pourcentage depuis 1982. Le Congrès américain adoptait un projet de loi de sauvetage financier de 700 milliards de dollars, insuffisant pour empêcher l’effondrement de la bourse mondiale 3 jours plus tard. La Réserve fédérale américaine annonçait par la suite des prêts commerciaux supplémentaires de plus de 1,7 trillion de dollars.
Pour aggraver la situation, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) déclarait une pandémie en raison d’un étrange virus mutant. Le virus H1N1, également appelé grippe porcine, entre aux États-Unis en provenance du Mexique et connaît une croissance exponentielle. Quelques années plus tôt, l’OMS avait prédit que la prochaine pandémie provoquerait entre 200 000 et 2 000 000 de décès aux États-Unis. Il s’avère qu’ils avaient raison, le nombre final de décès dû au H1N1 est estimé à un peu moins de 300 000.
Les ventes au détail avaient chuté au même niveau qu’en 2004, anéantissant ainsi 5 ans de croissance soutenue. Dans l’ensemble, il y avait de quoi s’inquiéter.
Un élément positif ressort cependant dans tout ce chaos.
Une industrie semblait ignorer l’incertitude financière, et prospérer alors que les gens restaient à la maison et dépensaient moins: le commerce électronique.
Après quelques années de stagnation, le commerce électronique prend d’assaut les ventes au détail, et ce juste après l’annonce de la pandémie. Le taux de croissance pour les ventes eCommerce double au cours de l’année suivante, et ce par rapport aux deux années précédentes.
Nous sommes conscients que cette corrélation n’est pas entièrement liée à la croissance du virus, mais nous savons aussi que son impact est non négligeable. Le commerce électronique est en mesure de satisfaire les clients qui tentent d’éviter les foules, mais qui veulent aussi trouver des aubaines. Pour les marchands qui cherchent une façon de maintenir leurs marges, tout en réduisant les dépenses liées à leurs magasins, le commerce électronique est la solution idéale.
En ces moments difficiles, le commerce électronique peut grandement réduire les risques pour chacun.
Non seulement les clients peuvent recevoir leurs biens essentiels en toute sécurité directement à la maison, mais le commerce électronique peut également répondre aux besoins de divertissement en offrant aux visiteurs d’un site une expérience virtuelle riche qui leur permet de rêver – et surtout planifier – les meilleurs jours qui s’en viennent. Les commerçants pour leur part peuvent réduire leurs dépenses, s’approvisionner juste à temps et libérer de l’argent.
Pour de plus amples informations sur nos services-conseils, et pour en savoir plus sur ce que le commerce électronique peut faire pour vous aider à passer à travers la tempête, contactez-nous.
